dimanche 14 août 2016

Têtes de l'Art

 
Et si... Et si on osait mettre à sac, à terre, si on osait déformer la création, la reprendre à son compte sans autre forme de procès, en dénaturant l'original, sans scrupules... Hum..
On en a parlé ici mais ils ont continué à oser. Les cons. D'autres oeuvres ont subi des dommages, des dégradations. Les carreaux de verre, en guise de pas japonais de Pamela DORIVAL, ont atterri brisés sur le terrain de tennis (nos excuses à l'Etoile sportive de Lux). Les anneaux bijoux d'Odile VUILLEMIN ont subi des torsions. Le déjeuner sur l'herbe de PEC est lui définitivement détruit. Etc.

Les mains courantes du président s'inscrivent, elles aussi, au fil de l'eau. On ne peut que constater les dégâts et regretter la force de l'ignorance qui se manifeste par la seule destruction d'une création d'art contemporain. La critique d'art qui se doit d'exister peut se manifester d'autres façons. Un peu d'imagination que diable !


Reste bienheureusement le lourd, le vissé au sol, l'aérien, le bétonné, le suspendu, l'acier trempé et autres installations qui n'ont pas trouvé prise. S'agirait pas non plus de fournir un effort pour abîmer ou dénaturer. Con et fainéant. Bref.

Dans un autre genre, si je puis dire, rendons d'abord grâce au Bien Public qui, une nouvelle fois, a assuré une belle couverture de nos manifestations et cette fois du vernissage de la Biennale de Lux. Le soutien de la presse locale pour l'initiative d'un village, d'une de ses associations, est apprécié à sa juste valeur. Merci cher journal régional.

Vous excuserez, toutefois, la piètre reproduction ci-jointe... En même temps, n'ayant pas l'autorisation formelle de la dite reproduction, je, nous, marchons sur des oeufs. On a senti le vent du boulet avec Art et Yasmina. Depuis... prudence, avec les droits d'auteur ;-)
Bon, que ceux qui ont manqué l'article (signé Muriel Avril, svp) ou qui ont leurs yeux qui pleurent à essayer de le lire malgré tout, sur ce cliché à deux balles, qu'ils ne se désolent point, en (grande...) partie, ils peuvent remonter le chrono du blog et le lire par , quand on était à 22 jours de l'événement.
Même au creux de l'été, dans la torpeur du week end du 15 août, les choses sont bien faites quand même.

 

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